dimanche 24 juin 2012

The Agency : Le crime de l'horloge (vol. 2)


Eté 1859. Le cadavre d’un maçon a été découvert au pied de la tour de Big Ben, en pleine construction. S’agit-il d’un accident, d’un suicide…ou d’un meurtre? L’enquête menée par Scotland Yard ne permet d’apporter aucune preuve concluante pour le savoir. On murmure même qu’un fantôme rôde sur le site…Pour dénouer le vrai du faux, il faudrait s’infiltrer sur le chantier et se mêler aux ouvriers. C’est la nouvelle mission de Mary Quinn, membre de l’Agency, organisation d’agents secrets exclusivement féminins. Se faisant passer pour un jeune apprenti, elle tente de recueillir des informations. Mais un nouveau venu est recruté pour établir un rapport sur la sécurité du chantier : nul autre que le séduisant James, qui perce immédiatement à jour la couverture de Mary…

L'avis de Chicky Poo :

Pour cette série, j'ai enchaîné les deux romans. J'ai beaucoup aimé le premier roman, mais il me faut bien avouer que j'ai une petite préférence pour ce second tome, que j'ai trouvé beaucoup plus abouti que le premier.

On retrouve donc Mary, la jeune héroïne, qui a grandi et qui a maintenant 18 ans. Elle fait toujours partie de l'Agency et cette fois-ci, la mission qu'on lui propose s'avère plus complexe que la première : il lui faut élucider un meurtre qui a eu lieu sur le chantier de Big Ben, ou tout du moins comprendre ce qu'il se passe sur ce chantier...

J'avais un peu peur de l'anachronisme, mais tout est très bien décrit et le scénario est bien ancré dans l'Histoire, ce qui ajoute beaucoup au plaisir de cette lecture. Et puis, on retrouve Mary, qui a grandi et s'avère un peu moins impétueuse que dans le premier tome. J'ai beaucoup apprécié la dualité de son personnage, particulièrement réussie, jusque dans les moindre détails.

Encore une bonne lecture donc, meilleure que le premier tome, à conseiller aux amateurs de roman policier-historique-jeunesse.
"Être un garçon offre beaucoup de liberté, se disait Mary. Elle pouvait se promener les bras ballants. Elle pouvait courir, si ça lui chantait. Elle faisait juste assez propre pour ne pas éveiller les soupçons de la police, et était juste assez pauvrement vêtue pour demeurer invisible à tous les autres."

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Tous vos petits mots adorables sont les bienvenus ! Et même les moins adorables hein, j'aime bien quand on peut discuter ! :) N'hésitez pas à laisser une trace de votre passage et à bientôt !